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Affichage des articles du juillet 17, 2022

Sexomnie : enfin le coupable rêvé !

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  Pour enrhumer le crétin, les progressistes américains sont décidément en avance. Deux nouvelles merveilles sont nées dans le ciel d’un monde « meilleur » : le «  pretty privilege  » et le somnambulisme sexuel. Le premier enfonce des portes ouvertes avec la satisfaction enfantine de lever le voile sur une construction cachée du patriarcat blanc chrétien et colonialiste. Dans le registre « la pluie mouille », le pretty privilege consiste à transformer en outil politique un bête fait biologique : les gens beaux plaisent davantage que les gens laids. Endormi que vous êtes, vous n’aviez évidemment pas réalisé que c’était parfaitement injuste et devait changer au plus vite. Discrimination positive pour les laids et balafres pour les beaux : on arrive toujours à une solution finale. Ajoutez à cela que la beauté est relative et que ses canons ont beaucoup varié au fil des époques et le tour est joué : vous devez déconstruire votre regard pour voir que la laideur est plus esthétique que l

Miroir, mon beau miroir, fais-moi TV ce soir

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Dépêche AFP du 19 juillet 2022 : " S elon le rapport annuel de l'Arcom, l a télévision reste un "miroir déformant" de la société :  f aible visibilité des personnes perçues comme "non blanches", en particulier sur les chaînes d'info, marginalisation des handicapés, place des femmes et des précaires en-deçà de la réalité, etc."   Vous connaissiez l’Arcom ? Dans le cas contraire, l’Agence France Presse vous informe que c’est un tort : le jugement de l’Arcom vaut bien une messe. Avec l’argent du contribuable, cette redoutable institution dresse un constat qui alarme l’AFP : la télévision n’est pas l’exact miroir de la France ! L’honnête homme s’étonne. Un organisme public viendrait-il soudain confirmer le malaise qui saisit de nombreux français au vu de publicités et de séries télévisées devenues les supports fayotants du camp du Bien ? Non, cette réalité (1)  n’est pas celle de l’Arcom. Il dénonce, au contraire, le manque de visibilité des « perso